Côté voyages
Janvier et février en Inde
J’ai célébré le passage de l’année 2020 dans les montagnes au Nord de l’Inde, à Dharamsala avec Léo. Une soirée à manger du fromage de yak et à jouer.
Après cela, nous avons voyagé au Rajasthan pendant quasiment deux mois. Nous y avons rencontré deux joyeuses voyageuses belges, Sarah et Gaëlle, avec qui nous avons partagé un bout de route. Des villes du Rajasthan, je retiens les couleurs : le doré de Bikaner et Jaisalmer dans le désert de Thar, le bleu de Jodhpur et Bundi, le rose de Jaipur, le blanc d’Udaipur. Je retiens la saveur de toutes ces épices que nous avons apprises à cuisiner et de celles de Krishna écrasait avec sa pierre pour faire le meilleur chaï du monde. Je retiens ce sentiment de m’être sentie chez moi dans cette maison à Bundi que j’ai partagée avec Gaëlle et Léo et où il fallait défendre nos petit-déjeuners des singes chapardeurs.
Et puis nous avons quitté les villes pour passer un moment dans le désert, dans la famille de Khameesh qui lutte contre des géants en faveur de la permaculture. Je te racontais cette rencontre touchante dans une lettre dédiée.
Fin février, Léo et moi avons finalement quitté notre maison de Bundi pour retrouver le tumulte de Delhi. Notre ami Marius, un jeune voyageur que nous avions rencontré au Pakistan où il était arrivé en stop depuis l’Allemagne, nous y a hébergés pour nos derniers jours en Inde.
Après cinq mois entre l’Inde et le Pakistan, j’étais émue de clore ce chapitre du voyage. Et je dois dire, qu’aujourd’hui encore, l’Inde me manque énormément. Il me tarde de pouvoir voyager de nouveau dans ce pays qui m’a bouleversée.
Mars, premiers pas en Nouvelle-Zélande et road trip écourté
Léo et moi arrivons le 1er mars à Auckland, en Nouvelle-Zélande. Pour une transition plus douce, nous sommes accueillis par Varun et Rage qui nous font profiter encore un peu de l’hospitalité indienne. Nous avons même pu célébré le holly, une importante fête hindoue, avec Varun à Auckland.
Nous passons les dix premiers jours à chercher activement un van et à faire toute la paperasse nécessaire à notre arrivée dans le pays. Lucas, mon frère, arrive quelques jours après nous pour un mois de road trip. Nous voulons donc être prêts à partir dès que possible.
Nous trouvons rapidement notre maison sur roues qui remplit nos critères : cuisine à l’intérieur, isolation, trois sièges… Plus qu’à prendre la route !
Nous prenons directement la direction de l’île du Sud en faisant deux étapes sur l’île du Nord : la vallée volcanique de Waimangu et le Tongariro.
Nous profitons ensuite, pendant une dizaine de jours, de la beauté sauvage de l’île du Sud. Et quelle claque déjà !
Et puis, tu te doutes bien de la suite. Fin mars, la pandémie mondiale nous arrête dans notre élan. Nous nous faisons surprendre par l’annonce du confinement alors que nous étions encore sur la route. Lucas avait prévu de passer un an en Australie avec un permis vacances travail mais ses plans sont vite compromis. Il fait donc sa demande de PVT ici et nous nous confinons tous les trois dans un appartement à Wanaka, au centre de l’île du Sud où j’en profite pour travailler sur plusieurs projets.
Nous passons un mois et trois semaines confinés et lorsque les portes de notre appartement de Wanaka s’ouvrent enfin, mi mai, l’hiver se fait déjà bien sentir en Nouvelle-Zélande.
Mai et juin, volontariats près de Dunedin
Pour passer l’hiver au chaud, nous choisissons de faire des volontariats. Nous en faisons un premier d’une semaine dans une famille qui souhaite tendre à l’autonomie alimentaire grâce à la permaculture. Nous donnons un coup de main sur plusieurs projets et posons pas mal de questions sur le sujet à Laurence qui est un véritable puits de savoirs.
Nous enchaînons ensuite par trois semaines dans un sanctuaire pour animaux où nous prenons soins des rescapés tout en participant à l’entretien et la vie dans cette grande maison vegan.
Nous reprenons la route quelques jours pour atteindre la pointe Sud de la Nouvelle-Zélande avant de remonter doucement vers le Nord où Lucas et Léo cherchent du boulot.
De juillet à septembre à Taupo
Nous finissons l’hiver à Taupo, au centre de l’île du Nord. Lucas travaille dans une communauté maori, Léo plante des arbres et je travaille sur mes projets en freelance. Ce sont quelques mois très studieux et j’ai les jambes qui démangent. Je pars pour quelques jours de vacances solo sur la côte Est, puis je retrouve Léo pour une superbe randonnée de plusieurs jours autour du lac Waikaremoana.
Octobre et novembre à Gisborne
Fin septembre, Léo et moi arrivons à Gisborne, sur la côte Est, où nous retrouvons Lucas. Le 1er octobre, nous commençons à travailler dans un verger de kiwis. Nous vivons avec une vingtaine d’autres voyageurs dans un grand jardin plein d’orangers chargés où nous campons tous. Feu de camp sous les étoiles et rythmes improvisés à la guitare occupent désormais nos soirées. Après les derniers mois assez isolée, je suis heureuse de rencontrer de nouvelles personnes et de quitter un peu mon ordinateur pour travailler dehors.
C’est à Gisborne que nos chemins se séparent avec Léo, après plus de quatre ans à vivre et voyager ensemble. C’est un beau chapitre qui se termine et une nouvelle aventure qui débute. Pour ma part, je vais poursuivre le projet que nous avions en commun et rentrer en France sans avion. Je suis donc désormais une voyageuse solo (enfin presque, puisque je n’ai pas encore vraiment commencé à voyager seule).
Novembre et décembre dans le Nord de la Nouvelle-Zélande
Je quitte Gisborne le 20 novembre pour prendre la direction du Nord du pays, profiter de ce bel été qui débute. Je laisse mon van chez Varun et Rage, les deux indiens qui nous avaient hébergés à notre arrivée en mars. J’avais envie d’un peu d’aventures et d’imprévus, je poursuis donc ma route en stop et bivouac pour quelques semaines.
Premier objectif, atteindre la pointe Nord de la Nouvelle-Zélande, le cape Reinga avant de redescendre dans la bay of islands. Je voyage alors avec Tomas et Filip, voyageurs chilien et croate rencontrés à Gisborne. Nous embarquons ensemble pour une semaine à bord du voilier d’un pirate. Mon objectif est de me familiariser un peu avec la navigation avant de faire du bateau stop dans quelques mois, mais c’est aussi une chouette occasion de visiter la magnifique bay of islands.
Je profite encore un peu de la baie en faisant une belle randonnée sur plusieurs jours jusqu’à un cap que nous avions aperçu depuis le voilier. Puis il est temps de retrouver mon van. Je poursuis ma route avec Filip pour visiter la péninsule du Coromandel qui regorge de magnifiques paysages, entre ses côtes sauvages et sa forêt dense pleine de fougères géantes.
Mi décembre, je laisse Filip dans un nouveau verger de kiwis et je débute un volontariat en tant que cheffe vegan dans une communauté de voyageurs dans la bay of plenty. C’est de là que je t’écris après avoir passer un Noël sur la plage à apprendre à surfer. J’y reste encore quelques jours avant de reprendre la direction de l’île du Sud le 1er janvier pour un nouveau boulot dans les fruits.
La vie en van
Cela fait donc huit mois que je vis et voyage dans mon van. C’est ma première expérience de voyage dans un véhicule aménagé et j’en attendais beaucoup. C’est une expérience très différente de ce que j’ai connu lors de mes précédents voyages et je pense que c’est idéal en Nouvelle-Zélande où tout est pensé pour les véhicules et où les zones isolées sont plus intéressantes à visiter que les villes.
C’est très confortable d’avoir sa petite maison partout, de pouvoir cuisiner tout ce que l’on veut facilement, de pouvoir bivouaquer quasiment n’importe où. Mais après ces quelques mois, je me fais la réflexion que c’est peut-être trop confortable justement. Avec le van, j’ai tendance à chercher des endroits isolés pour camper. J’ai tout ce qu’il me faut à bord, donc autant profiter d’un coin calme. Mais après quelques mois de coins calmes, les rencontres et les imprévus me manquent. Évidemment, je peux faire des rencontres même en voyageant en van. J’en ai fait. Mais étant timide, il est souvent plus facile pour moi de choisir le confort de l’isolement que de surmonter cette timidité. Alors je me dis que le voyage en van c’est juste peut-être pas forcément pour moi. Je pense que j’ai besoin d’un mode de voyage qui me fasse sortir plus régulièrement de ma zone de confort, parce qu’après tout, c’est ce que j’aime et ce que je recherche sur la route. Donc je suis contente d’avoir pu tester la vie en van avant de me lancer vraiment sur la route de retour vers la France.
Je commence déjà à faire des plans pour la suite du voyage qui devraient me combler d’inconfort, d’imprévus, de galères et de rencontres. Ça va être chouette, tu verras !
Côté pro
Vie nomade
Cela fait donc un an et demi que je suis nomade et que mes activités freelances sont devenues mes activités principales. Je t’écrivais dans mon bilan de l’année dernière à quel point il m’était difficile de trouver l’équilibre entre le voyage et le travail. Soit je travaillais non stop, soit je ne faisais plus que voyager sans ouvrir mon ordinateur. Et que l’un de mes objectifs étaient justement de trouver le rythme qui me convenait. Et bien je ne l’ai pas trouvé ! Je n’arrive pas vraiment à m’installer dans une routine quand je suis sur la route, même en étant avec le van. Alors je pense que je vais juste continuer à alterner les périodes 100 % travail et 100 % voyage. Il faudrait juste que j’arrive à faire cela sur des périodes plus courtes pour alterner plus régulièrement et éviter de passer de nouveaux mois enfermée à la bibliothèque. Ce qui est quand même ballot quand on a la chance de voyager à l’autre bout du monde.
Lundi communication
Lundi communication est le nom de mon activité freelance en communication digitale.
Je t’avais parlé d’un projet d’évolution pour ces activités. Et puis finalement je n’ai pas pris le temps de le faire. J’ai été occupée cette année par quelques projets intéressants qui ont eu ma priorité. Je fais donc toujours du conseil en communication digitale et en référencement naturel et de la création de sites web.
La fin d’année a été plus calme. Je pense que la pandémie a finalement fait ressentir ses effets sur les activités de pas mal d’entrepreneurs. J’espère donc avoir de nouveau quelques chouettes projets qui arrivent en 2021. Sinon, ça sera l’occasion de faire évoluer mon offre !
Petit oiseau
Petit oiseau est le nom de mon activité freelance en photographie.
J’avais pour projet de travailler un peu comme photographe tout en voyageant mais je me rends compte que c’est trop compliqué à mettre en place ne sachant pas où je serai la semaine prochaine. J’ai besoin d’un petit peu plus de visibilité pour pouvoir prévoir des reportages photo. Ce sera donc pour un prochain chapitre du voyage.
En attendant, j’ai enfin pris le temps de créer ma boutique de photos de voyage. Et je suis vraiment contente d’avoir pu la lancer et de l’accueil qu’elle a reçu !
Les autres activités
Et j’ai donc travaillé quasiment deux mois dans les kiwis cette année. Cela m’a permis de faire un petit complément à mes activités freelances et finalement l’expérience était globalement chouette même si le boulot est loin d’être passionnant. Je pense donc renouveler l’expérience et travailler ainsi de temps en temps quand j’aurais des périodes de calme avec Lundi communication.
Côté blog(s)
Bons baisers
J’ai eu besoin de prendre une pause avec le blog et les réseaux sociaux cette année et je l’ai donc prise. Avant aujourd’hui, cela faisait six mois que je n’avais rien écrit sur le blog. Bons baisers reste un blog amateur et passionné et je souhaite vraiment que l’écriture soit un plaisir, qu’elle ne se transforme pas en contrainte. Alors j’oublie un peu les algorithmes, j’essaie d’oublier ma propre exigence et je n’écrirai que lorsque j’aurais envie d’écrire. Voilà donc mon ambitieux objectif pour l’année qui arrive.
Et à vrai dire, je passe beaucoup de temps à écrire ces derniers temps, mais essentiellement pour moi. L’envie de partager réapparaît et j’ai toujours plein d’histoires à te raconter. Alors peut-être bien que je t’adresserai de nouvelles lettres prochainement.
Bon bivouac
Cette année j’ai également été pas mal occupée avec la création d’un second blog. Bon bivouac, un blog de cuisine vegan pour voyageuses et voyageurs que j’écris en anglais et en français. Je laisse ainsi toute sa place à mon autre passion qui est la cuisine et qui commençait à déborder dans les stories Instagram de Bons baisers. C’est aussi pour moi l’occasion d’aborder un peu plus des sujets politiques ; le veganisme étant un mouvement politique que je relie à mes convictions anarchistes, écologiques ou encore féministes.
Engagements
Veganisme & anarchisme
Je suis donc devenue vegan cette année et c’est une transition forte et importante pour moi. Elle est essentiellement politique et c’est ma manière de mettre en pratique mes idées au quotidien, plusieurs fois par jour.
La vie nomade rend les actions militantes plus compliquées à mettre en place et c’est l’une des choses que je regrette dans ce mode de vie. Alors pour l’instant être vegan, partager quelques recettes faciles à faire sur la route et parler de veganisme, d’anarchisme ou de féminisme quand on m’interroge (assez souvent), ça me permet de continuer un peu à militer pour les causes qui me semblent justes et importantes, malgré les contraintes liées à mon mode de vie.
Zéro déchet en voyage
J’étais partie avec l’objectif de tendre au zéro déchet lors de ce voyage mais j’ai revu mes exigences à la baisse. En effet, cette contrainte pesait lourd dans ma charge mentale et j’ai préféré mettre mon énergie ailleurs. Mais n’allant quasiment jamais dans les supermarchés pour faire mes courses, ma production de déchets, et tout particulièrement de plastique, reste très faible.
Mon bilan carbone
Cette année encore, j’ai souhaité partager mon bilan carbone. J’ai de nouveau utilisé les calculateurs de WWF Suisse et de Global Footprint network. Ils ne sont pas vraiment adaptés à mon mode de vie, de nombreuses questions tournant autour du logement et de l’électroménager, mais ça me permet quand même d’avoir une idée globale.
La plus grande part de mon bilan carbone reste la mobilité. J’ai pris mon dernier avion cette année et j’ai fait pas mal de kilomètres (12 000 depuis mars) avec mon van qui n’est pas tout récent. Deux points qui vont donc être largement améliorés dans l’avenir puisqu’il n’y aura plus d’avion et sans doute plus de van à partir de mars ou avril !
Objectifs 2021
- créer du contenu plus régulièrement sur le blog : complètement raté mais je suis ok avec ça comme je te l’ai expliqué dans le paragraphe dédié ;
- relancer l’envoi des lettres de Bons baisers : même chose, j’ai lâché la pression !
- me remettre à Pinterest : tu as compris l’idée…
- relancer Petit oiseau en Nouvelle-Zélande : plutôt réussi grâce à la boutique en ligne de photos de voyage ;
- faire évoluer l’offre de Lundi communication : je n’ai pas pris le temps de le faire ;
- économiser pour la suite du voyage : entre mes dépenses et mes différents revenus, j’ai pu garder mes économies à peu près au même niveau que lorsque je suis arrivée en Nouvelle-Zélande ;
- trouver mon équilibre entre le voyage, le travail et le repos : je sais désormais qu’il faut que j’alterne régulièrement des périodes travail et des périodes voyage, il n’y a plus qu’à !
- mettre en place une routine qui me permette d’être efficace : j’ai toujours beaucoup de mal à mettre en place une routine sur la route ;
- m’engager dans des actions militantes : je le fais à ma toute petite échelle via mes différents échanges en attendant de pouvoir avoir un engagement physique ;
- faire du yoga régulièrement : plutôt réussi ;
- apprendre à méditer : je pratique régulièrement et progresse ;
- réduire ma consommation de produits laitiers : je suis devenue vegan ;
- apprendre la permaculture : j’ai pu faire deux volontariats en permaculture, ce n’est pas assez mais c’est un bon début ;
- m’initier à la cueillette de plantes sauvages : j’essaie un peu via un livre sur les plantes sauvages de Nouvelle-Zélande ;
- perfectionner mon anglais : il est loin d’être parfait mais j’arrive à exprimer tout ce que je veux et je me suis même mise à penser en anglais ;
- lire encore plus : réussi ;
- écrire encore plus : réussi.
- reprendre un peu l’écriture sur Bons baisers,
- continuer à écrire pour moi,
- continuer à publier des recettes régulièrement sur Bon bivouac,
- continuer à pratiquer du yoga régulièrement,
- faire plus de randonnées,
- saisir les opportunités offertes par le voyage pour apprendre des choses sur la route,
- refaire de la moto,
- atteindre l’Australie en voilier,
- me donner les moyens de faire des rencontres régulièrement,
- refaire des volontariats,
- prendre soin de moi.
Voilà un peu ce que je peux te partager sur cette année 2020. J’ai hâte de voir ce que 2021 me réserve !
Je t’embrasse,
Léa
Cet article a 20 commentaires
Merci de prendre le temps de partager ton experience avec nous et de ta sincérité.
Je te souhaite de continuer dans la voie que tu as choisi.
Belle année 2021
Merci Chrystelle ! Belle année à toi aussi et bon vent pour vos nouveaux projets !
C’est bien ! Joli bilan et jolis projets ! Continue à être au bon moment au bon endroit ! Gros bisous
Je m’y applique ! Des bisous ma maman !
Ca fait plaisir d’avoir de tes nouvelles sous la forme de ce bilan. Je me réjouis d’ailleurs de lire tes futurs lettres que je trouve toujours très inspirantes. Tes conclusions sur la vie en van son intéressantes… on verra ce que ça donne de notre côté. On n’a pas encore eu assez l’occasion de tester ce mode de vie avec le coco mais on espère que ça changera bientôt.
Et continue aussi à partager tes recettes sur bon bivouac… Pour de gens comme moi qui manquent souvent d’inspiration pour cuisiner, ça donne de bonnes idées tout en permettant de s’améliorer du côté de l’alimentation.
Des bises de Galice et je te souhaite beaucoup de bonheur et d’imprévu pour la suite de tes aventures.
Merci pour ton message Benoît !
Après pour la vie en van, je pense vraiment que c’est une question de personnalité. Dans votre cas je pense que c’est un super moyen à alterner avec les expériences en coliving ! J’espère que vous pourrez expérimenter tout ça rapidement.
Je me garde d’ailleurs la lecture de votre bilan pour le looooong trajet de trois jours que j’entame demain !
Des bises jusqu’en Galice.
Belle fin d’année à vous deux !
Merci pour ce joli bilan de cette année qui aura décidément tout changé. Je te souhaite une belle 2021 à venir ! 🙂
Merci pour ton commentaire !
En effet, pas grand chose ne se passe comme prévu cette année ! ^^
Belle année 2021 à toi aussi !
Coucou Léa,
Comme il est agréable de te lire. J’ai découvert avec beaucoup de plaisir ton parcours nomade. Et comme toi, l’Inde me manque. (En revanche, je suis plus Inde du sud que du nord…) Il me tarde de pouvoir y retourner.
Pour le rythme boulot / voyage, il m’a fallu du temps pour trouver le mien. Ca marche quand j’ai le bon endroit où rester. Je bosse le matin (enfin en ce moment je suis décalée) et j’ai l’aprem pour découvrir.
Lire ton article bilan me fait du bien. Ca fait une semaine que j’essaye d’écrire le mien. Je n’y arrive pas. J’ai plusieurs brouillons mais rien de très bon. Ton article m’aide pas mal à y voir clair 😉
Je découvre aussi tes convictions anar. Je vois qu’on a en fait pleeeiiiinnnn de points communs 😉 (Je suis pas vegan pour 2 ronds, on va dire que j’ai plus tendance à être no border…)
Je t’embrasse. Je te souhaite une bonne année 2021 faite de rencontres et de découvertes. Va savoir, on se croisera peut-être 😉 (Je suis en Egypte en ce moment!)
Salut Julie et merci d’avoir pris le temps de me lire et de m’écrire !
Je viens de voir que tu avais sorti ton article du coup, je me réserve la lecture pour le long trajet qui arrive !
Pour le rythme boulot / voyage, j’ai aussi essayé ce format mais j’ai du mal à m’arrêter une fois bien lancée. ^^ Enfin, je trouverai bien !
Ah et en effet, on a l’air d’avoir pas mal de points en commun du coup ! 😀 Au plaisir de te croiser sur une route pour refaire le monde dans ce cas !
Belle année à toi, plein de beaux projets.
Hello Léa !
Comme l’année dernière, me revoici après avoir lu ton bilan. Je trouve ça chouette de suivre des personnes à travers ces récits annuels.
Effectivement, je pense qu’après la vague de prévention (à laquelle j’avais contribué..), je pense qu’avoir passé 2020 en Océanie (et particulièrement en NZ) était une des meilleures choses à faire. Ici, ce n’est pas joli et le monde subit aveuglément une dictature sanitaire disproportionnée (oups).
Pour ce fameux équilibre voyage/travail, je pense que celui qui trouvera la recette magique méritera une médaille. Le côté « prospection » et « devoir trouver des clients » est ce qui m’a toujours un peu fait peur avec le freelancing. Est-ce faisable de trouver des clients quand tu décides de t’y remettre ?
Quoiqu’il en soi, tu as l’air de bien avancer dans tes projets et de t’écouter, ce qui reste le plus important à mes yeux !
Au plaisir,
Jérémy
Hello Jérémy,
Merci d’avoir pris le temps de me lire et de m’écrire. Je me garde la lecture de ton bilan d’ailleurs pour le long trajet qui arrive. Je sais qu’avec toi, il faut prendre le temps pour tout lire (ce que j’aime beaucoup !).
Et en effet, je pense vraiment être infiniment chanceuse de pouvoir être là. Le timing était parfait ! Bon courage à toi en Europe !
Et oui, la prospection c’est clairement ma grosse bête noire aussi. Pour l’instant, je n’ai jamais eu besoin de m’y mettre en 7 ans de freelancing. Le bouche à oreille et le référencement de mon site me suffisent pour faire venir des clients régulièrement. Mais avec cette période de calme, il va peut être falloir que je m’y mette…
Belle fin d’année à toi, au plaisir de lire tes projets dans les prochains jours !
Léa
Quel plaisir de lire un bilan qui parle de voyages ! En écrivant le miens, je me suis demandée s’il n’allait pas faire tache dans cette année qui a été compliquée pour beaucoup.
Ton bilan me parle énormément : la difficulté de trouver son rythme entre voyages et travail, la facilité de la vie en van (je n’ai voyagé que 3 semaines en camion mais j’ai aussi eu tendance à m’isoler, profiter du calme plutôt que d’aller à la rencontre de l’autre). J’espère que 2021 t’attend avec plein de bonnes nouvelles, de rencontres et d’aventures. Nous (tes lecteurices-groupies), on attend tes lettres et tes cartes (même s’il n’y en a qu’une tous les 6 mois, on les savoure toujours autant).
Je te souhaite une excellente année !
Bises
Merci Céline pour ton message ! J’avais raté la sortie de ton bilan, j’irai lire ça ! (Mais je suis encore sous le coup de l’émotion suite à ton dernier texte… C’était si beau !)
Je te souhaite aussi une très belle année et de beaux projets pour l’année 2021.
Bises de l’autre côté du monde.
Bonjour Léa. En parcourant la sphère vélo sur Tweeter, je suis tombé sur ton blog de voyage. Très intéressant et super bien commenté. Si si… Il faut aller au bout de ses rêves… C’est très important. BRAVO !!!
Pascal.
Pour moi ce sera une meilleure année 2021.
Merci beaucoup Pascal ! Belle année à toi ! Et plein de beaux projets, peut être à vélo du coup ! ☺️
Quelle superbe rétrospective ! Tu sembles avoir réussi à passer une année aussi belle et remplie que possible, avant de nombreuses rencontres, découvertes, activités, réflexions et chemins parcourus. Même si certains de ceux-ci ne sont pas comme tu l’aurais souhaité, je trouve ton analyse extrêmement pertinente et intéressante, logique et surtout elle appelle à de bien belles choses et projets pour la suite que tu veux donner à tout ça en 2021 !
Alors, je te souhaite de réussir dans chacun de tes projets et d’y mettre encore tout plein de beauté et d’énergie, cela te sied à merveille !
Merci encore pour toutes ces douces cartes postales et la lumière de tes photos !
Beaux chemins !
Jul’
Merci beaucoup pour ton beau message ! ♥️ En effet, ce fut une très belle année, je suis infiniment chanceuse !
Je te souhaite le meilleur pour 2021 ! De beaux projets et des rencontres inspirantes !
Léa, je viens de passer ce dimanche après-midi, avec vous, dans vos voyages, et j’y ai pris un plaisir infini….vos photos sont belles, vos écrits passionnants,…. vous vivez votre vie pleinement et moi, qui appartient à la génération de votre mère, peut-être, je ne peux que vous encouragez à poursuivre votre route… route hasardeuse, au demeurant, mais enrichissante…
Moi aussi, j’ai parcouru le monde, mais pas dans les mêmes conditions!… néanmoins, toujours en « baroudeurs » avec mon mari…. le voyage reste notre passion à tous les deux, et dès que la situation s’améliorera, nous repartirons….. Soyez prudente, néanmoins
Merci beaucoup pour votre message touchant Jacqueline. Je suis heureuse d’avoir pu partager ces voyages avec vous le temps d’un dimanche après-midi. J’espère que vous pourrez tous deux reprendre la route bientôt !